Dittrichia graveolens (L.) Greuter ( Inule fétide )

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Dittrichia graveolens (L.) Greuter ( Inule fétide )

Dittrichia graveolens (L.) Greuter ( Inule fétide )

Nom : Dittrichia graveolens (L.) Greuter ( Inule fétide )

Autre(s) nom(s) :
Herbe aux punaises, Inule à forte odeur, Inule odorante, Vergerette odorante.

Famille : ASTERACEAE

Floraison : Août – Octobre

Forme biologique :
Thérophyte.

Description dans la flore de Coste :
Plante annuelle entièrement pubescente-glanduleuse, visqueuse, à odeur forte ; tige de 2-5 dm dressée, très rameuse, à rameaux étalés-dressés, très feuilles ; feuilles sessiles, étroites, linéaires, aiguës, entières ou obscurément denticulées, les inférieures oblongues-linéaires ; involucre à folioles linéaires-lancéolées, les extérieures herbacées, les intérieures scarieuses sur les bords ; akènes velus, rétrécis en col au sommet ; capitules petites, très nombreux, subsessiles, en longue panicule pyramidale, lâche ; fleurs jaunes ne dépassant pas l’involucre, celles de la circonférence souvent violacées.

Usages / particularités :
En Espagne, pour préparer les raisins secs, on fait bouillir les raisins avec une infusion de l’inule fétide. On les laissera ensuite sécher. Elle renferme une huile essentielle. La plante était autrefois utilisée contre les morsures de vipère.

Répartition française :
L’espèce est présente en Bretagne, le Centre, la Bourgogne et le Midi. Avec le changement climatique, elle remonte progressivement vers le Nord.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardennes, Bouches-du-Rhône, Calvados, Cantal, Charente, Charente-Maritime, Cher, Corse-du-Sud, Côte-d’Or, Doubs, Essonne, Eure-et-Loir, Finistère, Gers, Haute-Corse, Haute-Loire, Hautes-Alpes, Haute-Vienne, Hauts-de-Seine, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Morbihan, Nièvre, Orne, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis, Tarn-et-Garonne, TerritoiredeBelfort, Val-de-Marne, Var, Vaucluse, Vendée, Vienne, Yvelines.

Répartition de Dittrichia graveolens (L.) Greuter ( Inule fétide )

Répartition de Dittrichia graveolens (L.) Greuter ( Inule fétide )

Ecologie :
On la retrouve dans les cultures , les zones sableuses, les zones rudérales, les grèves des cours d’eau.

Phytosociologie :

Alliance Ordre Classe
Caucalidion lappulae Centaureetalia cyani Stellarietea mediae
Communautés surtout eurosibériennes. Communautés des cultures et moissons sur sol neutro-alcalin. Végétation annuelle, nitrophile, commensale des cultures annuelles ou sarclées.
Alliance Ordre Classe
Dauco carotae-Melilotion albi Onopordetalia acanthii Artemisietea vulgaris
Communautés subouvertes de hautes herbes, moins thermophiles, des substrats grossiers et souvent rapportés. Communautés thermophiles à dominance de vivaces et de bisannuelles, eurosibériennes à subméditerranéennes. Végétation rudérale, anthropogène, nitrophile à dominance d’espèces vivaces, eurosibérienne et méditerranéenne.
Ordre Classe
Epilobietalia fleischeri Thlaspietea rotundifolii
Communautés des bancs de galets et sables des torrents et cours d’eau. Végétations des éboulis plus ou moins mobiles.
Sous-ordre Ordre Classe
Populenalia albae Populetalia albae Querco roboris-Fagetea sylvaticae
Communautés méditerranéennes. Communautés riveraines non marécageuses. Forêts tempérées caducifoliées ou mixtes, collinéennes et montagnardes (plus rarement subalpines), ainsi que supraméditerranéennes.
Alliance Ordre Classe
Roemerion hybridae Centaureetalia cyani Stellarietea mediae
Communautés surtout méditerranéennes. Communautés des cultures et moissons sur sol neutro-alcalin. Végétation annuelle, nitrophile, commensale des cultures annuelles ou sarclées.

Taxonomie :
Dittrichia graveolens (L.) Greuter a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Conyza minor Bubani
– Cupularia graveolens (L.) Godr. & Gren.
– Erigeron graveolens L.
– Helenium graveolens (L.) Kuntze
– Inula brahuica Boiss.
– Inula graveolens (L.) Desf.
– Jacobaea graveolens (L.) Merino
– Paniopsis graveolens Raf.
– Pulicaria graveolens (L.) Nyman
– Solidago graveolens (L.) Lam.

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Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites )

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Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites  )

Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites )

Nom : Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites  )

Autre(s) nom(s) :
Rubanier à feuilles étroites.

Famille : TYPHACEAE

Floraison : Juillet – Septembre

Protection :
– Liste des espèces végétales protégées en région Franche-Comté Article 1 (1992)
– Liste des espèces végétales protégées en région Lorraine Article 1 (1994)
– Liste rouge européenne IUCN 2012 LC

Description dans la flore de Coste :
Plante vivace atteignant ou dépassant 1 mètre, glabre, à tige simple, grêle, flexible, submergée ; feuilles d’un beau vert, étroites (2-4 mm), très longues, planes, molles, flottantes, dilatées-membraneuses et engainantes à la base ; capitules en grappe simple, les mâles souvent 2-3, les femelles 1-3, petites, pédoncules ; écailles dentées-érodées ; fruits stipités, petites, ovoïdes-oblongs, atténués en bec grêle aussi long qu’eux.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ariège, Haute-Garonne, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Haute-Savoie, Hautes-Pyrénées, Isère, Meurthe-et-Moselle, Pyrénées-Atlantiques, Pyrénées-Orientales, Savoie, Vosges.

Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites  )

Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites )

Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites  )

Sparganium angustifolium Michx. ( Rubanier à feuilles étroites )

Phytosociologie :

Classe
Littorelletea uniflorae
Végétation vivace rase et amphibie, des bordures de plans d’eau, plutôt oligotrophe.
Alliance Ordre Classe
Littorellion uniflorae Littorelletalia uniflorae Littorelletea uniflorae
Communautés des lacs oligotrophes montagnards. Végétation vivace rase et amphibie, des bordures de plans d’eau, plutôt oligotrophe.

Taxonomie :
Sparganium angustifolium Michx. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Sparganium affine Schnizl.
– Sparganium affine subsp. borderei (Focke) P.Fourn.
– Sparganium affine subsp. borderei (Focke) Rouy
– Sparganium borderei Focke
– Sparganium multipedunculatum (Morong) Rydb.
– Sparganium natans Gren. & Godr.
– Sparganium simplex var. multipedunculatum Morong

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Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. ( Pulicaire dysentérique )

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Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. ( Pulicaire dysentérique )

Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. ( Pulicaire dysentérique )


Nom : Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. ( Pulicaire dysentérique )

Autre(s) nom(s) :
Herbe-Saint-Roch, Inule dysentérique, Pulicaire dysentérique.

Famille : ASTERACEAE

Floraison : Juillet – Septembre

Forme biologique :
Hémicryptophyte.

Description dans la flore de Coste :
Plante vivace à tiges de 3-6 dm dressées, pubescentes-laineuses ou tomenteuses, à rameaux étalés-dressés ou divergents ; feuilles pubescentes, blanchâtres, laineuses ou tomenteuses en dessous, ondulées, lâchement denticulées, ovales-lancéolées, fortement embrassantes et à oreillettes très prononcées, les supérieures comme sagittées ; involucre laineux, à folioles linéaires-subulées ; akènes velus, aigrette rousse ; capitules portés par des pédoncules grêles, en corymbe ; fleurs jaunes, celles de la circonférence rayonnantes.

Usages / particularités :
Elle était utilisée contre la dysenterie. Les fleurs peuvent guérir les plaies.

Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. ( Pulicaire dysentérique )

Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. ( Pulicaire dysentérique )


Répartition française :
L’espèce est présente un peu partout dans le pays.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Ain, Aisne, Allier, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardennes, Aube, Aveyron, Bas-Rhin, Bouches-du-Rhône, Calvados, Cantal, Charente, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Côte-d’Or, Côtes-d’Armor, Deux-Sèvres, Dordogne, Doubs, Essonne, Eure, Eure-et-Loir, Finistère, Gironde, Haute-Corse, Haute-Loire, Haute-Marne, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Haute-Vienne, Hauts-de-Seine, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Landes, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Lot-et-Garonne, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Morbihan, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Orne, Paris, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Pyrénées-Orientales, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Somme, Tarn-et-Garonne, Territoire-de-Belfort, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Var, Vaucluse, Vendée, Vienne, Vosges, Yonne, Yvelines.

Répartition de Pulicaria dysenterica (L.) Bernh.

Répartition de Pulicaria dysenterica (L.) Bernh.


Ecologie :
On la retrouve dans les fossés, les marais, les bords des cours d’eaux et de étangs. Aussi dans les prairies hygrophiles.

Phytosociologie :

Ordre Classe
Convolvuletalia sepium Filipendulo ulmariae-Convolvuletea sepium
Mégaphorbiaies planitiaires à montagnardes, méso-eutrophes, des stations plus ou moins inondables à humides.
Alliance Ordre Classe
Hydrocotylo vulgaris-Schoenion nigricantis Caricetalia davallianae Scheuchzerio palustris-Caricetea fuscae
Communautés atlantiques planitiaires des sols tourbeux oligotrophes. Communautés de bas-marais alcalins à mésotrophes, sur sol neutro-basique, tourbeux à minéral. Végétation hygrophile de bas-marais, à dominance d’hémicryptophytes, collinéenne à alpine, sur sol tourbeux, paratourbeux ou minéral, oligotrophe à mésotrophe.
Alliance Ordre Classe
Mentho longifoliae-Juncion inflexi Potentillo anserinae-Polygonetalia avicularis Agrostietea stoloniferae
Communautés pâturées neutroclines. Prairies eurosibériennes subissant des inondations de courte durée. Végétation prairiale des sols engorgés ou inondables, essentiellement minéraux, mésotrophes à eutrophes.

Taxonomie :
Pulicaria dysenterica (L.) Bernh. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Aster dysentericus (L.) Scop.
– Aster undulatus Moench
– Diplopappus dysentericus (L.) Bluff & Fingerh.
– Inula conyzoea Lam.
– Inula dentata Sm.
– Inula dysenterica L.
– Pulicaria antidysenterica Bubani
– Pulicaria dysenterica (L.) Gaertn.
– Pulicaria dysenterica subsp. dentata (Sm.) Holmboe
– Pulicaria dysenterica subsp. uliginosum Nyman
– Pulicaria dysenterica var. microcephala Boiss.
– Pulicaria dysenterica var. ramosissima Lecoq & Lamotte
– Pulicaria repens Fisch. ex Trévis.

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Helminthotheca echioides (L.) Holub ( Picride fausse-vipérine )

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Helminthotheca echioides (L.) Holub ( Picride fausse-vipérine )

Helminthotheca echioides (L.) Holub ( Picride fausse-vipérine )

Nom : Helminthotheca echioides (L.) Holub ( Picride fausse-vipérine )

Autre(s) nom(s) :
Helminthie fausse-vipérine, Picris fausse Vipérine.

Famille : ASTERACEAE

Floraison : Juin – Septembre

Forme biologique :
Hémicryptophyte, Thérophyte.

Description dans la flore de Coste :
Plante annuelle à tige de 3-10 dm dressée, rameuse, hispide ; feuilles très rudes, hispides, oblongues, les radicales entières ou lâchement sinuées, rétrécies en pétioles, les supérieures cordées-embrassantes offrant deux oreillettes arrondies ; involucre à folioles extérieures largement ovales-cordées, acuminées, les intérieures étroites atténuées en longue pointe ; akènes jaunâtres ou rougeâtres un peu comprimés, ridés transversalement, brusquement terminés par un bec capillaire aussi long que l’akène ; aigrette à soies blanches plumeuses ; fleurs jaunes.

Usages / particularités :
Les jeunes feuilles en rosette sont consommées crues en Italie. Mais le plus souvent, on les fait cuire en soupe. Plus agée, la feuille devient amère.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Ain, Aisne, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardennes, Aube, Aude, Aveyron, Bas-Rhin, Bouches-du-Rhône, Calvados, Cantal, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Corse-du-Sud, Côte-d’Or, Côtes-d’Armor, Deux-Sèvres, Dordogne, Doubs, Drôme, Essonne, Eure, Eure-et-Loir, Finistère, Gers, Gironde, Haute-Corse, Haute-Loire, Haute-Marne, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Hauts-de-Seine, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Landes, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Lot-et-Garonne, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Morbihan, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Orne, Paris, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Pyrénées-Orientales, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Somme, Tarn, Tarn-et-Garonne, Territoire-de-Belfort, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Var, Vaucluse, Vendée, Vienne, Yonne, Yvelines.

Répartition de Helminthotheca echioides (L.) Holub ( Picride fausse-vipérine )

Répartition de Helminthotheca echioides (L.) Holub ( Picride fausse-vipérine )

Ecologie :
On la trouve sur les bords des chemins et des champs, les lieux incultes.

Phytosociologie :

Ordre Classe
Agropyretalia intermedii-repentis Agropyretea pungentis
Communautés non littorales. Végétation vivace graminéenne, xérophile et semi-rudérale, surtout sur sables, limons et substrats calcaires, à distribution européenne et ouest-sibérienne.
Ordre Classe
Onopordetalia acanthii Artemisietea vulgaris
Communautés thermophiles à dominance de vivaces et de bisannuelles, eurosibériennes à subméditerranéennes. Végétation rudérale, anthropogène, nitrophile à dominance d’espèces vivaces, eurosibérienne et méditerranéenne.
Alliance Ordre Classe
Sisymbrion officinalis Sisymbrietalia officinalis Sisymbrietea officinalis
Communautés vernales surtout eurosibériennes sous climat tempéré. Communautés nitrophiles vernales à tardi-vernales, des sols peu épais mésoclines, eurosibériennes et méditerranéennes. Végétation anthropogène à dominante d’annuelles et de bisannuelles, plus ou moins nitrophile, des stations rudéralisées et irrégulièrement pertubées.

Taxonomie :
Helminthotheca echioides (L.) Holub a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Crepis echioides (L.) All.
– Helminthia dichotomos Dulac
– Helminthia echioides (L.) Gaertn.
– Helminthia echioides proles humifusa (Trévis.) Rouy
– Helminthia echioides subsp. humifusa (Trévis.) Arcang.
– Helminthia humifusa Trévis.
– Helminthia tuberculata Moench
– Picris echioides L.

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Viburnum opulus L. ( Viorne obier )

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Viburnum opulus L. ( Viorne obier )

Viburnum opulus L. ( Viorne obier )

Nom : Viburnum opulus L. ( Viorne obier )

Autre(s) nom(s) :
Sureau d’eau, Viorne aquatique.

Famille : ADOXACEAE

Floraison : Mai – Juin

Description dans la flore de Coste :
Arbrisseau de 2-4 mètres, à rameaux fragiles, glabres, d’un gris blanchâtre ; feuilles caduques, minces, légèrement pubescentes en dessous, largement ovales, à 3 5 lobes sinués-dentés, aigus ; pétiole allongé, glabre, muni à la base de stipules linéaires ; corymbes assez longuement pédoncules, peu serrés ; fleurs blanches, inodores, les centrales petites et régulières, les extérieures bien plus grandes, rayonnantes, à lobes inégaux, stériles ; baies globuleuses, d’un rouge vif à la maturité.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Ain, Aisne, Allier, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardennes, Aube, Aveyron, Bas-Rhin, Calvados, Cantal, Charente, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Côte-d’Or, Côtes-d’Armor, Creuse, Deux-Sèvres, Dordogne, Doubs, Essonne, Eure, Eure-et-Loir, Finistère, Gironde, Haute-Loire, Haute-Marne, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Haute-Savoie, Haute-Vienne, Haut-Rhin, Hauts-de-Seine, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Landes, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Lot-et-Garonne, Lozère, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Morbihan, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Orne, Paris, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Somme, Tarn, Tarn-et-Garonne, Territoire-de-Belfort, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Var, Vaucluse, Vendée, Vienne, Vosges, Yonne, Yvelines.

Répartition de Viburnum opulus L. ( Viorne obier )

Répartition de Viburnum opulus L. ( Viorne obier )


Phytosociologie :

Sous-alliance Alliance Sous-ordre Ordre Classe
Alnenion glutinoso-incanae Alnion incanae Alno glutinosae-Ulmenalia minoris Populetalia albae Querco roboris-Fagetea sylvaticae
Communautés des bords de ruisseaux et torrents, jusqu’à ceux des rivières à eaux lentes. Communautés de l’Europe tempérée. Communautés riveraines non marécageuses. Forêts tempérées caducifoliées ou mixtes, collinéennes et montagnardes (plus rarement subalpines), ainsi que supraméditerranéennes.
Alliance Sous-ordre Ordre Classe
Alnion incanae Alno glutinosae-Ulmenalia minoris Populetalia albae Querco roboris-Fagetea sylvaticae
Communautés de l’Europe tempérée. Communautés riveraines non marécageuses. Forêts tempérées caducifoliées ou mixtes, collinéennes et montagnardes (plus rarement subalpines), ainsi que supraméditerranéennes.
Alliance Ordre Classe
Salici cinereae-Rhamnion catharticae Prunetalia spinosae Crataego monogynae-Prunetea spinosae
Communautés de manteaux, fruticées, haies plus ou moins mésohygrophiles des lits majeurs inondables des rivières. Communautés arbustives non dunaires, des sols carbonatés ou plus ou moins désaturés. Végétation principalement européenne de manteaux arbustifs, fruticées et haies. Nota : diverses communautés dominées par des Rubus (spp.), non encore étudiées en France, ne sont pas intégrées à la présente classification.

Taxonomie :
Viburnum opulus L. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Opulus glandulosus Moench
– Opulus lobatofolia Gilib.
– Opulus palustris Gray
– Opulus rosea Schur
– Opulus vulgaris Borkh.
– Viburnum glandulosum Salisb.
– Viburnum lobatum Lam.

Sous-espèces ou variétés :
– Viburnum opulus cv. Roseum

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