Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

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Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Nom : Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Autre(s) nom(s) :
Clochette d’hiver, Galanthe des neiges, Goutte de lait.

Famille : AMARYLLIDACEAE

Floraison : Février – Mars

Forme biologique :
Géophyte bulbeux.

Protection :
– CITES (Convention de washington)
– Directive 92/43/EEC (Directive européenne Habitats-Faune-Flore) Annexe II,IV,V
– Liste rouge européenne IUCN 2012 NT

Description dans la flore de Coste :
Plante vivace de 15 à 25 cm, glabre, à bulbe ovoïde. 2 feuilles, linéaires-obtuses, larges de 4 à 8 mm, planes, carénées, plus courtes que la tige cylindracée. Fleur blanche, pendante, solitaire, sortant d’une spathe canaliculée, arquée, membraneuse aux bords, dépassant le pédoncule. Périanthe en cloche, à divisions libres, inégales, les 3 extérieures obovales-oblongues obtuses, un peu étalées, les 3 intérieures de moitié plus courtes, conniventes en cloche, obovales en coin, échancrées et tachées ou rayées de vert au sommet. Étamines insérées sur un disque épigyne, à filets très courts, à anthéres dressées lancéolées-acuminées , stigmate simple. Capsule charnue, subglobuleuse.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Aisne, Allier, Alpes-Maritimes, Ardèche, Ardennes, Aube, Aveyron, Calvados, Cantal, Cher, Corrèze, Côtes-d’Armor, Dordogne, Doubs, Essonne, Eure, Eure-et-Loir, Gard, Gironde, Haute-Garonne, Haute-Loire, Haute-Marne, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Haute-Savoie, Hautes-Pyrénées, Hauts-de-Seine, Hérault, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Lot-et-Garonne, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Morbihan, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Orne, Paris, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Saône-et-Loire, Sarthe, Savoie, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Somme, Tarn-et-Garonne, Territoire-de-Belfort, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Var, Vosges, Yonne, Yvelines.

Répartition de Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Répartition de Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Galanthus nivalis L. ( Perce-neige )

Ecologie :
On retrouve l’espèce dans les forêts alluviales ou les forêts de feuillus sur des sols frais.

Phytosociologie :

Alliance Sous-ordre Ordre Classe
Alnion incanae Alno glutinosae-Ulmenalia minoris Populetalia albae Querco roboris-Fagetea sylvaticae
Communautés de l’Europe tempérée. Communautés riveraines non marécageuses. Forêts tempérées caducifoliées ou mixtes, collinéennes et montagnardes (plus rarement subalpines), ainsi que supraméditerranéennes.
Sous-alliance Alliance Sous-ordre Ordre Classe
Ulmenion minoris Alnion incanae Alno glutinosae-Ulmenalia minoris Populetalia albae Querco roboris-Fagetea sylvaticae
Communautés du bord des grands fleuves. Communautés de l’Europe tempérée. Communautés riveraines non marécageuses. Forêts tempérées caducifoliées ou mixtes, collinéennes et montagnardes (plus rarement subalpines), ainsi que supraméditerranéennes.

Taxonomie :
Galanthus nivalis L. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Chianthemum nivale (L.) Kuntze
– Galanthus alexandrii Porcius
– Galanthus imperati Bertol.
– Galanthus montanus Schur
– Galanthus nivalis L. subsp. nivalis
– Galanthus nivalis subsp. imperati (Bertol.) Baker
– Galanthus nivalis var. montanus (Schur) Rouy
– Galanthus nivalis var. platypetalus Beck
– Galanthus nivalis var. stenopetalus Beck
– Galanthus plicatus Hohen.
– Galanthus plicatus subsp. subplicatus Zeybek & W.Sauer

Sous-espèces ou variétés :
– Galanthus nivalis L. var. nivalis
– Galanthus nivalis var. scharlockii Casp.

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Betonica officinalis L. ( Bétoine officinale )

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Betonica officinalis L. ( Bétoine officinale )

Betonica officinalis L. ( Bétoine officinale )

Nom : Betonica officinalis L. ( Bétoine officinale )

Autre(s) nom(s) :
Épiaire officinale.

Famille : LAMIACEAE

Floraison : Juin – Septembre

Description dans la flore de Coste :
Plante vivace de 20-60 cm, velue au moins à la base, dressée ou ascendante ; feuilles pétiolées, oblongues en coeur, fortement nervées-réticulées, régulièrement crénelées, vertes, velues ou glabres, les florales inférieures réduites et n’égalant pas la moitié de l’épi ; fleurs purpurines, en épi compact ou interrompu ; calice tubuleux en cloche, velu ou glabrescent, faiblement nervé, à dents lancéolées-aristées, à peine ou le double plus courtes que le tube ; corolle d’environ 18 mm, à tube saillant, sans anneau de poils, à lèvre supérieure entière, pubescente, dépassant beaucoup les étamines.

Usages / particularités :
Longtemps appelé Stachys officinalis, elle a été renommée récemment en Betonica officinalis. Elle possède de nombreuses vertus médicinales. Les feuilles permettent de soigner les plaies. Elle soigne les inflammations des muqueuses. On l’utilisait autrefois contre les maux de tête.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Ain, Aisne, Allier, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardennes, Aube, Aveyron, Bas-Rhin, Bouches-du-Rhône, Calvados, Cantal, Charente, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Côte-d’Or, Côtes-d’Armor, Creuse, Deux-Sèvres, Dordogne, Doubs, Essonne, Eure, Eure-et-Loir, Finistère, Gers, Gironde, Haute-Loire, Haute-Marne, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Haute-Savoie, Hautes-Pyrénées, Haute-Vienne, Haut-Rhin, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Lot-et-Garonne, Lozère, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Morbihan, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Orne, Paris, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Somme, Tarn-et-Garonne, Territoire-de-Belfort, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Var, Vaucluse, Vendée, Vienne, Vosges, Yonne, Yvelines.

Répartition de Betonica officinalis L. ( Bétoine officinale )

Répartition de Betonica officinalis L. ( Bétoine officinale )

Ecologie :
Prés, bois, landes sur des sols acides à neutres. Elle est très rare sur des sols calcaires.

Phytosociologie :

Alliance Ordre Classe
Cynosurion cristati Trifolio repentis-Phleetalia pratensis Arrhenatheretea elatioris
Communautés collinéennes et montagnardes. Prairies pâturées. Végétation prairiale, plus rarement de pelouses, mésophile ou mésohygrophile, mésotrophe à eutrophe.
Alliance Ordre Classe
Juncion acutiflori Molinietalia caeruleae Molinio caeruleae-Juncetea acutiflori
Communautés atlantiques à montagnardes sur sol mésotrophe. Communautés non méditerranéennes sur sols tourbeux à paratourbeux. Prairies hygrophiles à mésohygrophiles, sur sol oligotrophe à mésotrophe.
Alliance Ordre Classe
Violion caninae Nardetalia strictae Nardetea strictae
Communautés acidiclines sub-nord-atlantiques. Pelouses oligotrophes, acidiphiles, planitiaires à montagnardes, essentiellement atlantiques à subatlantiques.

Taxonomie :
Betonica officinalis L. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Betonica angustifolia Jord. & Fourr.
– Betonica brachystachys Jord. & Fourr.
– Betonica bulgarica Degen & Nejceff
– Betonica danica Lange
– Betonica drymophila Jord. & Fourr.
– Betonica foliosa C.Presl
– Betonica fusca Klokov
– Betonica glabrata K.Koch
– Betonica glabriflora Borbás
– Betonica grandifolia Jord. & Fourr.
– Betonica hirta Leyss.
– Betonica hylebium Jord. & Fourr.
– Betonica laxata Jord. & Fourr.
– Betonica legitima Link
– Betonica leiocalyx Jord. & Fourr.
– Betonica monieri Gouan
– Betonica montana Lej.
– Betonica monticola Jord. & Fourr.
– Betonica nemorosa Jord. & Fourr.
– Betonica occitana Jord. & Fourr.
– Betonica officinalis subsp. stricta Arcang.
– Betonica parvula Jord. & Fourr.
– Betonica peraucta Klokov
– Betonica polyclada Jord. & Fourr.
– Betonica pratensis Jord. & Fourr.
– Betonica psilostachys Jord. & Fourr.
– Betonica purpurea Bubani
– Betonica pyrenaica Jord. & Fourr.
– Betonica recurva Jord. & Fourr.
– Betonica rigida Jord. & Fourr.
– Betonica rusticana Jord. & Fourr.
– Betonica stricta sensu Aiton
– Betonica stricticaulis Jord. & Fourr.
– Betonica subcarnea Jord. & Fourr.
– Betonica subhirsuta Sudre
– Betonica sylvulicola Jord. & Fourr.
– Betonica valdepubens Jord. & Fourr.
– Betonica validula Jord. & Fourr.
– Betonica virescens Jord. & Fourr.
– Betonica virgultorum Jord. & Fourr.
– Betonica vulgaris Rota
– Stachys betonica Benth.
– Stachys bulgarica (Degen & Nejceff) Hayek
– Stachys monieri (Gouan) P.W.Ball
– Stachys officinalis (L.) Trévis.

Sous-espèces ou variétés :
– Betonica officinalis L. subsp. officinalis

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Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

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Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Nom : Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Autre(s) nom(s) :
Digitale pourprée, Gantelée, Grande Digitale.

Famille : PLANTAGINACEAE

Floraison : Mai – Septembre

Description dans la flore de Coste :
Plante bisannuelle ou vivace de 50 cm à 1 m. 50, tomenteuse-blanchâtre, à tige robuste, creuse, lâchement feuillée ; feuilles ovales-oblongues, crénelées-dentées, mollement pubescentes, blanchâtres-tomenteuses et ridées en réseau en dessous, les inférieurs et les moyennes rétrécies en long pétiole, les supérieurs subsessiles ; fleurs purpurines avec taches plus foncées en dedans, très grandes, pendantes, en grappes allongées ; calice pubescent, à lobes ovales-oblongs, mucronés ; corolle de 4-5 cm de long sur 2 de large, ventrue, glabre en dehors ; capsule ovale, tomenteuse, dépassant peu le calice.

Répartition française :
Elle est absente de la région méditerranéenne.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Aisne, Allier, Ardèche, Ardennes, Ariège, Aube, Aveyron, Bas-Rhin, Calvados, Cantal, Charente, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Corse-du-Sud, Côte-d’Or, Côtes-d’Armor, Creuse, Deux-Sèvres, Dordogne, Doubs, Drôme, Essonne, Eure, Eure-et-Loir, Finistère, Haute-Corse, Haute-Garonne, Haute-Loire, Haute-Marne, Haute-Saône, Haute-Savoie, Hautes-Pyrénées, Haute-Vienne, Haut-Rhin, Hauts-de-Seine, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Jura, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Lozère, Maine-et-Loire, Manche, Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Morbihan, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Orne, Paris, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Somme, Tarn, Tarn-et-Garonne, Territoire-de-Belfort, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Vendée, Vienne, Vosges, Yonne, Yvelines.

Répartition de Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Répartition de Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Digitalis purpurea L. ( Digitale pourpre )

Phytosociologie :

Alliance Ordre Classe
Conopodio majoris-Teucrion scorodoniae Melampyro pratensis-Holcetalia mollis Melampyro pratensis-Holcetea mollis
Communautés atlantiques et subatlantiques avec irradiations méridionales, du collinéen et de la base du montagnard. Pelouses préforestières et ourlets, sur sols acides oligotrophes.
Alliance Ordre Classe
Epilobion angustifolii Atropetalia belladonnae Epilobietea angustifolii
Communautés intraforestières mésoacidiphiles à acidiphiles des sols faiblement enrichis en azote. Végétation herbacée pionnière des chablis et des coupes forestières, nitrophile et héliophile.
Alliance Ordre Classe
Galeopsion segetum Galeopsietalia segetum Thlaspietea rotundifolii
Communautés d’une grande partie de la France (Pyrénées exceptées). Communautés collinéennes et montagnardes des éboulis siliceux secs. Végétations des éboulis plus ou moins mobiles.
Alliance Sous-ordre Ordre Classe
Luzulo luzuloidis-Fagion sylvaticae Fagenalia sylvaticae Fagetalia sylvaticae Querco roboris-Fagetea sylvaticae
Communautés montagnardes acidiphiles. Communautés le plus souvent mixtes, montagnardes, plus rarement collinéennes ou subalpines. Communautés collinéennes et montagnardes, acidiclines à calcicoles, non thermophiles. Forêts tempérées caducifoliées ou mixtes, collinéennes et montagnardes (plus rarement subalpines), ainsi que supraméditerranéennes.

Taxonomie :
Digitalis purpurea L. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Digitalis alba Schrank
– Digitalis libertiana Dumort.
– Digitalis miniana Samp.
– Digitalis minor L.
– Digitalis nevadensis Kunze
– Digitalis purpurascens Lej.
– Digitalis purpurea var. humilis Rouy
– Digitalis speciosa Salisb.
– Digitalis tomentosa Hoffmanns. & Link, sensu H.J.Coste

Sous-espèces ou variétés :
– Digitalis purpurea L. var. purpurea
– Digitalis purpurea subsp. bocquetii Valdés
– Digitalis purpurea var. gyspergerae (Rouy) Fiori

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Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

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Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Nom : Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Autre(s) nom(s) :
Thé du Mexique.

Famille : AMARANTHACEAE

Floraison : Juillet – Novembre

Description dans la flore de Coste :
Plante annuelle ou pérennante de 30-80 cm, pubérulente ou presque glabre, à odeur pénétrante et agréable, sans rameaux stériles à la base ; tige dressée, anguleuse, rameuse ; feuilles courtement pétiolées, oblongues et lancéolées, sinuées-dentées ou presque entières ; glomérules verdâtres, en panicule longue et étroite, feuillée, à rameaux dressés-étalés ; périanthe cachant le fruit, à lobes non carénés ; graine très petite, horizontale, luisante, à bord obtus.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Allier, Alpes-Maritimes, Aube, Aveyron, Bouches-du-Rhône, Cantal, Charente, Charente-Maritime, Cher, Essonne, Finistère, Hauts-de-Seine, Ille-et-Vilaine, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Loire-Atlantique, Loiret, Loir-et-Cher, Lot, Maine-et-Loire, Marne, Mayenne, Morbihan, Nièvre, Paris, Saône-et-Loire, Sarthe, Seine-et-Marne, Seine-Maritime, Seine-Saint-Denis, Tarn-et-Garonne, Val-de-Marne, Val-d’Oise, Var, Vaucluse, Vendée, Vienne, Yvelines.

Répartition de Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Répartition de Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants ( Chénopode fausse-ambroisie )

Phytosociologie :

Alliance Ordre Classe
Chenopodion rubri Bidentetalia tripartitae Bidentetea tripartitae
Communautés des sols sableux à graveleux, parfois envasés. Végétation pionnière annuelle et hygrophile des sols enrichis en azote, s’asséchant partiellement en été.

Taxonomie :
Dysphania ambrosioides (L.) Mosyakin & Clemants a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Ambrina ambrosioides (L.) Spach
– Ambrina spathulata Moq.
– Atriplex ambrosioides (L.) Crantz
– Blitum ambrosioides (L.) Beck
– Botrys ambrosioides (L.) Nieuwl.
– Chenopodium ambrosioides L.
– Chenopodium astrachanicum Ledeb.
– Chenopodium integrifolium Vorosch.
– Chenopodium spathulatum (Moq.) Sieber ex Moq.
– Chenopodium suffruticosum subsp. remotum Vorosch.
– Chenopodium variegatum Gouan
– Orthospermum ambrosioides (L.) Kostel.
– Vulvaria ambrosioides (L.) Bubani

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Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

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Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Nom : Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Autre(s) nom(s) :
Fustet, Sumac Fustet.

Famille : ANACARDIACEAE

Floraison : Mai – Juin

Forme biologique :
Phanérophyte.

Description dans la flore de Coste :
Feuilles simples, obovales ou orbiculaires, obtuses, entières, glauques et mates sur les deux faces, rougissant à l’automne. Fleurs jaunâtres, en panicules amples, très lâches. Pédicelles d’abord très courts, munis sous chaque fleur d’une seule bractéole, la plupart stériles, très longs, très velus et rendant la panicule plumeuse à la maturité. Drupe obovale, comprimée, glabre, luisante et brune à la maturité.

Présent dans le(s) département(s) suivant(s) :
Ain, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardèche, Aube, Aveyron, Bouches-du-Rhône, Cantal, Charente-Maritime, Côte-d’Or, Dordogne, Drôme, Essonne, Gard, Hautes-Alpes, Haute-Saône, Haute-Savoie, Hérault, Isère, Loire, Lot, Lot-et-Garonne, Rhône, Saône-et-Loire, Savoie, Tarn-et-Garonne, Val-d’Oise, Var, Vaucluse.

Répartition de Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Répartition de Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Cotinus coggygria Scop. ( Arbre à perruque )

Ecologie :
Cet arbuste apprécie les sols secs, souvent en situation de pleine lumière, parfois mi-ombragée.

Taxonomie :
Cotinus coggygria Scop. a pour synonymes (Informations issues de la BDTFX Version 2.0, Tela Botanica) :
– Rhus cotinus L.
– Rhus cotinus var. purpurea Rehder
– Rhus simplicifolia Salisb.

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